Chefchaouen

A few miles from Chefchaouen is the small village of Akchour, the name alone of this amazing place is enough to bring a gleam to the eye of canyon addicts.
For those who know of it, the only word articulated in answer will be: « when?! ».
For those who don’t, words cannot describe the essence of this blessed soil, situated in northern Morocco, where time seems to stop for you to indulge in the tranquil surroundings.
We shall, together, go and explore Akchour, deep in Canyons, high up on rising cliffs, or simply trekking along a river.
Meet up point: the Rif, get ready, this is going to be amazing!

The Farda River offers one of the most stunning river treks in Morocco.
A 30 minute walk through local cultures will lead us to the river’s bed. That’s where we gear up.
After a short briefing, the first slide is close by, and plenty of jumps and deep crystal clear water pools will follow, until we finally reach God’s Bridge, a natural arch over 80m high.

The Ifarsa canyon, renamed « Abyss » and called « Akka’n Abysse » in Berbers’ spoken, is an engaging canyon.
It is 15h mule is loaded, a 2:00 approach walking on a trail exceptional and very little frequented leads us to a small village perched 750m above sea level at the start of the canyon, one night in stage gite is needed .
Fadal family welcome us warmly.
6:30 alarm clock, quickly a good breakfast and the wetsuit are sent, the first rappelling is not far.
Will be linked together many acrobatics walking in the rocks and rappelling in the middle of lush vegetation and clear water.
The river is wild, there’s no escaping it, a few large Mago (local monkeys) are occasionally spotted and often leave a distinctive smell behind.
A certain amount of autonomy in rappelling is required to fulfill the 15 waterfalls of this adventure in a wild flavors of Jurassic Park.

For the past few years, sounds of drilling and clipping have echoed off the “Rif”, a chain of mountains bordering the Mediterranean in the North of Morocco. We may be far from the desert, but the couscous and red rocks are worthy of postcards.
During the summer the classic climbs in the South (Todra, Amallego, Taghia) turn into furnaces under the glare of mid-summer sun, and sun-cream consumption reaches an unreasonable amount. No need to check, we’ve tried it for you!
The climate is more bearable in the north, the Talembote River runs at the foot of the magnificent Caïat cliff, so you can dive into deep water pools and swim under waterfalls between climbs! The location, near the Mediterranean, also makes this area an ideal summer destination. The starts of the climbs are only 28km from the deserted beaches between Oued Laou and Targhat. In short, don’t forget to pack your swimming suit along with your ropes and quickdraws.
The Caïat cliff is split into various sub-sections, which are between 15mins and 1h30 apart. This is where you will find all the multi pitch and single pitch routes.
This enormous band of dolomitic limestone reaches 450m at its highest point, and stretches over tens of kilometers. A sacred mountain for the indigenous, it imposes respect by its impressive blue columns which adorn the cliff façade.
The first routes were created in 2004 in Akchour, and there are now over 200 distributed over 25 sites.

Accommodation: The Lounge Caïat Hostel which is run by a Portuguese host, or the renowned and recently renovated Café Rueda, will welcome you in a comfortable, calm and authentic environment, with fantastic views of the area.

Depuis quelques années des bruits de perfos et de mousquetonnages résonnent dans les falaises du “Rif”, la chaine montagneuse en bordure de la méditerranée au nord du Maroc. Certes on est loin du désert, mais on y trouve aussi du caillou rouge et du couscous carte postale !
En été les grands classiques du sud (Todra, Amellago, Taghia) sont transformés en pierrade par la chaleur, la consommation d’écran solaire excède largement celle de magnésie, n’y allez pas on a testé pour vous. Mais dans le nord le climat y est plus modéré, et le gros avantage c’es l’oued Talembote qui coule au pied de la somptueuse falaise Caïat , ce qui permet de grimper entre deux baignades dans les cascades ! La proximité du spot avec la méditerranée est aussi un atout pour une destination estivale, les départs de voie ne sont qu’à 28 km des plages désertes entre Oued Laou et Targhat. En résumé, n’oubliez pas de caser un maillot entre la corde et les dégaines.
La grande falaise dénommée Caïat se subdivise en plusieurs sous-secteurs situés entre 15min et 1h30 d’approche. C’est là que se trouvent les grandes voies ainsi que des secteurs de couennes. Cette énorme barre de calcaire dolomitique atteint 450m à son hauteur maximum et s’étale sur une dizaine de km, c’est une montagne sacrée pour les autochtones et elle impose respect de part ses longues faces déversantes au colonnettes bleutées !
C’est en 2004 qu’est née la première voie à Akchour, aujourd’hui on en compte plus de 200 réparties sur 25 secteurs qui font du site une destination de choix pour se casser les bras !
Hébergement : L’auberge lounge Caïat tenu par un portugais ou encore le célèbre Café Rueda très récemment remis à neuf vous accueilleront dans le confort, le calme et l’authenticité des traditions locales, avec une vue imprenable sur le spot !

A quelque km de Chefchaouen se trouve Akchour, la seule prononciation de ce dernier mot fait frémir les plus addicts.
Pour ceux qui connaissent, les yeux s’ouvrent, les pupilles se dilatent et la bouche béante laisse sortir le premier mot venu: « quand ?! ».
Mais pour ceux qui ne connaissent pas, où trouver les mots, et comment les assembler pour avoir la prétention de décrire l’ineffable esprit de cette terre bénie, qui se trouve au nord, reculée de tout, où le temps semble s’être arrêté pour savourer lui aussi l’espace de la tranquillité ?
Et bien, ces mots nous irons les trouver ensemble, au sommet d’une falaise, au fond d’un canyon ou plus simplement allongés au bord d’une rivière un brin d’herbe entre les dents.
Rendez-vous dans le Rif, mais attention, vous allez kiffer !

L’oued Farda offre certainement une des plus belles randonnées aquatiques du Maroc.
Une marche d’approche de 30 min à travers les « cultures locales » nous conduit dans le lit de l’oued.
C’est la que l’on s’équipe.
Après un rapide briefing, le premier toboggan n’est pas loin, et ainsi de suite vont s’enchainer petits sauts et nages en eau crystale jusqu’à finalement parvenir en dessous du fameux Pont de Dieu, une arche naturelle perchée 80m plus haut.
La fin du canyon n’est pas loin.

Le canyon Ifahsa, rebaptisé « Abysse » d’où son nom berbère « Akka’n Abysse » est un canyon très engagé.
Il est 15h on charge la mule, une marche d’approche de 2h sur un sentier exceptionnel et très peu fréquenté nous amène à un petit village perché à 750m d’altitude au départ du canyon, une nuit en gite d’étape s’impose.
La famille de Fadal nous accueille chaleureusement.
Réveil 6h30, on enfile en vitesse le petit déjeuné puis la combinaison néoprène, le premier rappel n’est pas loin.
Vont s’enchaîner alors manips de corde et acrobaties dans les rochers au milieu d’une végétation luxuriante et dans une eau transparente.
La rivière est sauvage, sans échappatoire, quelque gros Magots (singes locaux) peuvent y être surpris et laissent une forte odeur par moment.
Un certain niveau d’autonomie en déplacement sur corde est requis pour les 15 rappels de cette belle aventure aux parfums de Jurassic Park.